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Chirurgie esthétique

INTRODUCTION À LA CHIRURGIE ESTHÉTIQUE ET RÉPARATRICE

En une vingtaine d’années d’exercice de la chirurgie esthétique et réparatrice, j’ai pu observer d’énormes changements ! Sur le plan des interventions esthétiques, les progrès ont été considérables, gagnant en efficacité, en discrétion, en sécurité, en éventail de possibilités : on réalise aujourd’hui du « sur-mesure » tout en laissant moins de cicatrices et en favorisant un résultat naturel. Sur le plan de sa médiatisation, la chirurgie reconstructrice a connu une explosion qu’il est facile de constater chaque jour : dans la presse, à la télévision, on ne compte plus les articles et les émissions qui lui sont consacrés. Les patients ayant recours à la chirurgie esthétique et réparatrice, aussi, ont beaucoup changé : ils sont plus jeunes, de milieux sociaux plus diversifiés et le nombre d’hommes augmente régulièrement.

Enfin, sur le plan de son organisation, notre profession a été réglementée et encadrée, ce qui a eu pour effet d’accroître la sécurité et l’information des patients.

En corrigeant un défaut, en supprimant une gêne ou un complexe, en rajeunissant son apparence, (rajeunissement du visage par exemple), une intervention esthétique accroît la confiance en soi, améliore l’image qu’on a de soi en réduisant l’écart entre son apparence et sa personnalité réelle. Elle permet de se sentir mieux dans sa peau, au sens propre comme au sens figuré. Plus que la beauté, la chirurgie esthétique et réparatrice, médecine de l’âme autant que du corps, améliore le bien-être physique et psychologique. Cela, je le constate tous les jours avec bonheur chez les patients.


La chirurgie reconstructrice se démocratise

En réalité, la chirurgie reconstructrice est très récente même si sa pratique existe depuis longtemps : on a notamment découvert des papyrus remontant à 3 000 ans avant Jésus Christ démontrant que l’on pratiquait déjà la rhinoplastie correction du nez – chez les Égyptiens. Cependant, pendant des siècles, elle a été dénoncée par les autorités religieuses, qui voyaient d’un très mauvais œil la modification de l’œuvre du divin, puis par les médecins eux-mêmes qui la jugeaient futile. Il a fallu attendre la Première Guerre mondiale et ses fameuses « gueules cassées » pour que le regard porté sur l’intervention esthétique se transforme. Mais la chirurgie esthétique et réparatrice, comme ceux qui la pratiquent, garde néanmoins une part de mauvaise réputation. Elle attire et repousse, fascine et répugne à la fois. C’est pour cela qu’il convient de l’aborder sans passion, dans un souci d’équilibre et de clarté.

En France, chaque année, la chirurgie reconstructrice voit le nombre de ses interventions augmenter de 10%. Oui, elle se démocratise. Certains disent, en le déplorant, qu’elle se banalise. Il y a une différence de jugement entre les deux termes mais, dans les faits, cela revient au même. Désir d’estomper les marques du temps, de changer légèrement de son apparence, d’améliorer l’harmonie de son corps ou de son visage, de corriger un défaut congénital, de traiter les séquelles d’accidents ou de maladie… La chirurgie esthétique, réparatrice et plastique – les trois spécialités sont liées – répondent à ces demandes.

En chirurgie esthétique, nous avons un avantage par rapport à d’autres types de chirurgie : il n’ y a pas d’urgence, ce qui nous permet de prendre le temps d’expliquer, d’informer pour que les patients décident en parfaite conscience.

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Docteur Marc Divaris
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